Bonjour à tous.
Je souhaite lancer un blog pour apprendre aux enfants et aux jeunes à écrire des histoires en français.
Nous allons commencer par le commencement. Comment écrire une introduction qui capte l’intérêt des lecteurs. Nous allons lancer un sujet d'écriture.
Voici un sujet d'écriture :
Je souhaite lancer un blog pour apprendre aux enfants et aux jeunes à écrire des histoires en français.
Nous allons commencer par le commencement. Comment écrire une introduction qui capte l’intérêt des lecteurs. Nous allons lancer un sujet d'écriture.
Voici un sujet d'écriture :
Racontez une aventure que vous avez vécue.
L'introduction doit avoir du style, préciser le sujet, situer le lecteur, susciter son intérêt et ajouter des éléments humoristiques ou intrigants.
Voici un exemple:
"L'été dernier je suis allé en camping avec ma famille. Une aventure inoubliable m'est arrivée. J'ai failli être dévoré par un requin."
Que pensez-vous de cette introduction ? Avez-vous envie de lire la suite ? Savez-vous où vont se dérouler les événements de cette aventure ? Savez-vous de quoi nous allons parler ?
Si vous avez répondu par oui à ces questions, c'est que notre objectif a été atteint et que nous pouvons continuer.
Voici un exemple que vous pouvez modifier et commenter. c'est juste un brouillon.
L'été dernier je suis allé en camping avec ma famille. Une aventure inoubliable m'est arrivée. J'ai failli être dévoré par un requin.
- Nous allons tous mourir,
disait-il en gémissant.
- Mais non, voyons, bientôt un bateau de pêche nous apercevra et viendra à notre secours.
Nous nous enfouîmes au bas du bateau et attendîmes. Nos petits corps affaiblis et éreintés de tant de frayeur et d’épuisement ont vite fait de nous emporter dans un sommeil profond.
Si vous avez répondu par oui à ces questions, c'est que notre objectif a été atteint et que nous pouvons continuer.
Voici un exemple que vous pouvez modifier et commenter. c'est juste un brouillon.
L'été dernier je suis allé en camping avec ma famille. Une aventure inoubliable m'est arrivée. J'ai failli être dévoré par un requin.
Il faisait une journée splendide. La mer paraissait une
piscine qu’aucun plongeon ne troublait. Une légère brise suffisait juste à nous
caresser les joues brulantes. Le bruit des petites vagues, comme un murmure,
nous insufflaient une musique à peine audible
mais d’une douceur irrésistible. Et le large ouvrait ses bras comme une
tendre maman à la vue de son bébé.
Après une brève consultation avec mes amis, nous sautâmes
dans le bateau pneumatique qui flottait sur l’onde d’un bleu argenté. Nous étions
quatre et le bateau était suffisamment large pour nous contenir sans être
encombrés. Malek et Kamel se saisirent des pagaies. J’étais le capitaine. Salim
se contentait d’encourager les rameurs et de nous divertir par avec ses blagues
qui ne tarissaient jamais.
Nos voguions joyeusement en chantant des airs de pirates et
en adoptant des attitudes menaçantes à l’encontre des navires imaginaires en
criant des avertissements déstabilisants pour l’ennemi. Nous étions dans une
euphorie édénique et nous voguions insouciants du courant qui nous entrainait
vers le large.
Toute à coup une rame se brisa et la moitié est tombée dans
l’eau et s’envola dans un courant aussi rapide qu’un torrent. Vains étaient nos
efforts pour la rattraper d’autant plus qu’avec une seule rame il était
impossible de diriger correctement le bateau. Les petits bras de Malek furent
vite épuisés. Nous pagayions à tour de rôle néanmoins cela s’avérait inutile
car pour retourner à la plage il fallait ramer à contre-courant.
La plage était bien loin et il était impossible d’entreprendre
un retour à la nage. Les baigneurs nous paraissaient comme des fourmis. Les petits
cris que nous vociférions à leur encontre s’évanouissaient dans la vaste
étendue et vains étaient les gestes de nos petits bras que nous ne pouvions
plus lever de lassitude. Le désespoir commença à s’emparer de nous et Salim,
habituellement gai de tempérament, commença le premier à pleurnicher. Il était
le plus jeune de nous tous.
- Mais non, voyons, bientôt un bateau de pêche nous apercevra et viendra à notre secours.
Mes propos tranquillisants ne semblaient pas avoir d’effet. En
effet, Kamel et Malek aussi pleuraient en silence et visiblement ils avaient
peur. J’essayais de les distraire par des suppositions joyeuses en disant que
si nous continuions ainsi, bientôt nous serions sur les côtes européennes et
nous nous y serions accueillis comme des héros. Mes paroles ne faisaient qu’attiser
leur crainte.
Brusquement, je vis des objets en forme de triangle
tournoyer autour du bateau. C’étaient des requins. Je ne voulais pas terroriser
mes petits camarades mais bientôt ils s’en
aperçurent également et ne purent contenir leur effroi. Ils avaient tous vu
des films de requins et toute parole apaisante serait vaine. Notre angoisse s’amplifiait
et nous attendions le moment où les horribles bêtes planteraient leurs dents
acérées dans notre bateau de fortune. Ils ne feraient de nous qu’une bouchée. Nous
priions mais l’épouvante empêchait toute concentration sur nos prières. Nous résolûmes
de nous tenir au silence.
Nous nous enfouîmes au bas du bateau et attendîmes. Nos petits corps affaiblis et éreintés de tant de frayeur et d’épuisement ont vite fait de nous emporter dans un sommeil profond.
- Eh ! réveillez-vous
petits ! que faites-vous là ?
C’étaient les gardes de côte. Ils avaient vu notre détresse et
s’étaient dépêchés à notre secours. Quel soulagement !
Arrivés, sur la rive, nous fûmes cernés par une foule de curieux. Nos parents étaient évidemment au devant. Et je ne vous dirais
par les reproches que nous avions essuyés ce jour-là.
Combien de personnages participeront à cette aventure?
RépondreSupprimerComment les personnages seront menacés?
Que vont-ils faire pour sortir de leur mésaventure?